J’ai toujours ete de nature a socialiser avec tous puis, je suis demenager a Montreal. Pourquoi le (1) a la fin du titre? Parce que c’est le premier billet d’une longue liste. Je ne voulais pas ecrire un roman alors j’ai decider de le poster petit a petit quand j’en aurais l’inspiration.
Ce matin, en prenant mon premier cafe vers 7h, j’ai decider de changer cet atitude, d’etre plus attentive a comprendre comment cela avait pu ce produire. Je me suis rendu au travail par le metro comme a tout les jours. En sortant de l’autobus, un jeune homme m’offre le journal Metro alors, comme tout les matins, je le prend. Deux pas plus loin, une dame m’offre le 24h que je boude normalement. Aujourd’hui, je l’acceptas. Deux autres pas plus loin, un autre jeune homme m’offra le journal Metro a coter d’un autre qui m’offrait le 24h. Bien que je les avais deja tout les deux encore dans les mains (et a la vue) je les acceptas les deux encore une fois sans trop savoir pourquoi. Juste avant d’entrer dans le metro, a coter de la porte, ce tennait un homme, un sans abrit. Il me tendit la mains et me demanda si j’avais du change pour un cafe. J’aurais normalement dit non puisque, non pas que je sois une sans-soeur, je me fais demander de l’agent 60 fois par jours. En essayant de ne pas tout echapper (j’avais quand meme 4 journaux, une grosse saccocher et une boite a lunch) je fouilla dans mes poches et n’y trouva que des 5 cents et des 10 cents. Avec un peut d’hesitation, je sorti un 5$ de ma poche et lui donna pensant naivement faire sa journee. Sans meme me remercier, il ce tourna pour demander a quelqu’un d’autre. T’en a pas assez de 5$ pour ton maudit cafe? Tu veux te le faire importer de chine ou quoi? Bref, je n’allais pas laisser ca me gacher mon « mood » positif et sociable de la journee. J’entra dans le metro entre deux-trois coup de coudes et descendit les marches. Rendu en bas, un homme ce tenait devant les tourniquets avec un autre journal. J’avais les mains trop pleinnes alors je le refusa. « C’est ca, tout le monde est toujours trop occuper pour donner un coup de pouce aux sans abrits! » que je l’entendis dire une fois rendu un peut plus loin. J’avais juste envie de retourner le voir et l’envoyer promener mais…. Non, pas aujourd’hui. Le metro arriva et la chance etait avec moi, j’avais une place assise!
Une station plus tard, 2 personnes un peut plus loin ce leverent debout et commencerent a distribuer des papiers et disant haut et fort « Dieu vous aimes, il vous acceuillera dans son ciel si vous l’acceuillez dans votre coeur!« . Tout le monde avait la meme expression sur le visage, une expression de malaise. Une des deux s’approcha de moi; « Voila madame, pour vous, pour ensoleiller votre journee.« . Je l’aurais normalement ignorer, ou j’aurais peut-etre simplement fait un sourir et retourner a ma lecture mais…. pas aujourd’ui. J’etais prise entre tout mes choses, les 4 journeaux et le monsieur beaucoup trop a l’aise assit a coter de moi qui faisait les mots croiser de son journal a moitier embarquer par dessus moi. Je ne lui repondit qu’un petit « Non merci, c’est gentil. » poliment sans savoir que cette reponse venait d’engager la conversation. « Madame vous-etes cretienne non? » – « Non… desoler? » « Mais en quoi croyez-vous?« . Ses yeux me regardaient si intensement qu’ils etaient sur le point de me sauter au visage. Les gens autour nous regardait et semblaient tous attendre ma reponse egalement avant autant d’intensiter que lorsque Julie attend l’appel du Banquier. Pour la premiere fois, j’etais tres gener de mes propres croyances. « Je crois…. je crois en moi. » –Station Peel– Sauver par le metro, je sorti en vitesse du wagon avant d’avoir une suite a cette conversation. Je me rendis a mon bureau, en silence, evitant de croiser le regard des autres.
9am, ma descision de changer d’atitude avait disparu en meme temps que je me servais mon 2e cafe.
soupeopera 